La commémoration publique de l’histoire tragique et douloureuse des pensionnats autochtones, et des «cicatrices» qu'elle laisse encore aujourd’hui, est un élément essentiel du processus de réconciliation collective. Cette journée peut donc être une occasion idéale pour soulever une question importante: peut-on réparer des blessures, notamment quand celles-ci ont été infligées dans le passé?
Les Jeux paralympiques viennent de prendre fin, et cela me paraît être une bonne occasion de réfléchir à une question qui a agité les athlètes, les para-athlètes et les journalistes pendant cet événement: faut-il considérer les para-athlètes comme des superhéros ou comme des gens normaux?
Ce sujet peut être perçu à la fois comme terrible et décourageant. Pour cette raison précise, il est donc important de trouver une façon de l’aborder avec les élèves. De cette manière, on pourra en effet leur laisser entrevoir, par le biais du questionnement, du dialogue et la réflexion, une possibilité de chercher d’autres chemins que celui de l'impuissance, face à des réalités du monde qui peuvent sembler répressives.
Cela fait en effet un an qu’a éclaté le conflit meurtrier qui déchire et endeuille la bande de Gaza, la Palestine et Israël. Pourquoi commémorer l’anniversaire d’événements tragiques? Dans cet atelier philo, invitez les élèves à examiner cette question et à réfléchir à ce qui les relie à l’Histoire (avec un grand «H») afin de donner du sens au concept de mémoire.
A-t-on le droit à l’erreur? En effet, la vie regorge de situations, petites et grandes, dans lesquelles il nous arrive de faire des erreurs. Et il peut être important de comprendre en quoi consistent celles-ci et de quelle manière, en démêlant leurs nœuds, il nous est possible d’en apprendre quelque chose.
Avec cette activité, Gilles vous propose de réfléchir avec vos élèves à cette question de l’audace et des choix «qui ne plaisent pas à tout le monde». Ce muscle du vivre-ensemble nécessite en effet d’être entraîné aussi régulièrement que possible! 😉
Avec cette activité, vous allez leur proposer une occasion de s’interroger et d’entraîner leur muscle du vivre-ensemble et d’une «gestion» plus harmonieuse de leurs rapports à l’Autre.
Voici l'occasion de s’interroger à propos des feux de forêt, aux liens qui nous unissent à la nature et à quelques-uns des enjeux que cela soulève: engagement, écoresponsabilité, avenir, choix collectifs, solidarité, liberté, compromis, etc.
En abordant ce projet de loi interdisant l'accès au tabac à une génération entière, les élèves se voient offrir une opportunité de réfléchir à ce qui peut amener un gouvernement à prendre des mesures aussi radicales au nom de la protection de la santé.
Ce que cette avocate met en lumière nous offre une opportunité précieuse: celle de réfléchir avec nos élèves aux «lunettes» que nous utilisons pour regarder la nature, les écosystèmes et les êtres vivants qui nous entourent.
Même si Paul Houde est d’une génération que n’ont pas connue les élèves d’aujourd’hui, le magnifique portrait de cet homme me paraît néanmoins être une opportunité d’examiner avec eux une thématique importante: l’identité. Il s’agit en effet d’un enjeu majeur que de savoir comment on devient qui on est, avec le cortège de questions qui en découlent...
À une époque où la vie des personnalités publiques est scrutée à la loupe et où les médias sociaux sont un terreau où prolifèrent parfois les théories les plus folles, la controverse concernant la princesse offre une belle occasion de réfléchir à une question importante: comment réagir face à l’incertitude? En d’autres termes, que faire quand on ne sait pas?
